Puisqu’il agit comme un antioxydant sélectif ( 1 ), il a été démontré que l’hydrogène moléculaire avait des effets thérapeutiques et/ou préventifs sur diverses maladies inflammatoires liées aux espèces réactives d’oxygène/azote, telles que l’ischémie/les lésions de reperfusion, les maladies cardiaques radio-induites, etc. (2 ). Comme les espèces réactives de l’oxygène (ROS) jouent également un rôle important dans les réponses des plantes sous des stress abiotiques et biotiques, la fonction de H 2 dans la régulation de l’homéostasie des ROS a été prouvée ( 3 ). Plus récemment, H 2 a été considéré comme un gazotransmetteur potentiel chez les plantes ( 4 ), car il est étroitement associé à la croissance et au développement des plantes et à la réponse au stress abiotique ( 5 , 6 ). L’effet protecteur de H2 dans la résistance post-récolte des fruits de tomate à Botrytis cinerea a été découvert ( 7 ) , et son fonctionnement pour permettre aux plantes en croissance de faire face au stress biotique et à certaines maladies est très prometteur.
